Le Blog de bonanza

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Posté le :20/10/2016

Milan : visite à pied !
A Milan, si l'on entre dans la journée, une taxe de 5 € doit être payée en achetant une vignette a gratter pour obtenir un code qu’on envoie ainsi que l'immatriculation par sms aux autorités. Il parait aussi que les véhicules pre Euro 4 sont interdits. J'attends donc une éventuelle amende. Le choix d'un hôtel avec un parking garde est un point important. Un passant est même venu me féliciter pour
la beauté de ma grenouille.  A vrai dire,je n'ai vu qu'une Ferrari durant les 3 jours en Italie et aucune Lambo.

Jours suivants : Milan – Nice – Aix en Provence – Avignon - Paris
Nous rentrons en France en passant visiter la magnifique chartreuse de Pavie.

Puis par l'autoroute de Vingtimille qui est composée presque exclusivement de tunnels et viaducs et même d'une belle et large épingle avec des escales a Nice, Aix et Avignon pour visiter famille et amis. 
 
Voici un périple de 2500 km réalisé sans aucun incident mécanique avec une consommation moyenne de 9.5 L et un plaisir de conduite intense, dans les montages. 
La météo d'octobre, parfaite, a permis d'admirer des paysages grandioses.
La type G est une voiture apte aux grandes randonnées.
On a bien pris soin d'elle en la bâchant lors des nuits en campagne a la belle étoile et en lui donnant un abri sur en ville. 

Posté le :20/10/2016

Jour 4 : le col du Gavia
Comme je suis en forme, je reprends la route d'un autre col qui est une route fort peu fréquentée, en très mauvais état et en voie unique sur une grande partie : le col du Gavia. 
Il y a moins d'épingles qu’au Stelvio mais beaucoup se prennent en première et comme les croisements se font principalement dans des aires dédiées, et que les précipices sont vertigineux, il est préférable de rouler à allure modérée. Un long faux plat mène au col a 2640 m dans un paysage minéral d'une grande beauté. 
La fin de la descente se fait par quelques épingles dans un sous bois, puis la route reprend une largeur  normale : a deux voies. 
 
Nous continuons ensuite vers Milan par des routes secondaires plutôt chargées et sans grand intérêt. 

Posté le :20/10/2016

Jour 4 : le col du Stelvio - la descente
Enfin le col à 2760 m après 48 lacets. 
La surprise est qu'il y a foule, des hôtels et des boutiques pour touristes comme dans aucun autre col. 
Au vu du trafic rencontre sur la route, ils ont du être parachutes. 
On en profite pour déjeuner et se décontracter. 
La descente est moins spectaculaire, on arrive rapidement sur un faux plat qui constitue l'arrivée du col de l'Umbrail a 2500 m en Suisse, le dernier km a été goudronne en 2015 !
Avant la première guerre, c'était un point triple : Italie, Suisse et Autriche qui fut le théâtre de combats féroces. 
Puis il y a un passage très beau forme d'épingles serrées bordées par une grande cascade.
Après un arrêt photos, nous repartons vers une série de tunnels puis une dernière série d'épingles avant d'arriver a Bormio, une station de ski.   
Le bon sens de roulage est de Spondigna vers Bormio, tous ceux qui font ce col pour le plaisir de conduite le savent et ca réduit les risques de croisement avec des voitures ou motos rapides. 

Posté le :20/10/2016

Jour 4 : le col du Stelvio - la montée
A Spondigna,se situe l'embranchement du col du Stelvio, la route est discrète et assez peu fréquentée.
Rapidement quelques lacets serrés donnent le ton, on traverse des villages et on croise même des camions de bois.
Puis on attaque des épingles serres dans un beau sous bois. Des motos nous rejoignent, les dépassements deviennent impossibles sans prendre de risques.
Heureusement,les lents se laissent doubler. Certaines épingles doivent être prises en première et je commence a prendre le rythme en suivant des motards.
Après un long faux plat, on rejoint un groupe d'épingles très serrées que je prends en première après avoir donne le petit coup de gaz qui va bien pour ne pas brutaliser la boite. 
Certaines épingles sont si rapprochées qu'il n'y a pas le temps pour passer la seconde !
Le paysage est grandiose. Je fais un arrêt photo, pour décompresser et boire un peu, puis je repars avant d’être rejoint par un groupe de limaces, pour la dernière série d'épingles qui est dans la même veine. 

Posté le :20/10/2016

Jour 4 : Guarda – Spondinia  - Le grand jour. 
La météo est mitigée mais va s'améliorer. Nous quittons doucement Guarda et descendons la vallée jusqu'à la frontière
autrichienne. La route monte en lacets jusqu'à Nauders, c'est un bon échauffement.
Puis la route continue via un faux plat jusqu'au Reschenpass qui fait la frontière avec l'Italie.
Toute la région, le Sud-Tyrol, alémanique a été gagnée par l'Italie en 1919. 
La descente dans une large et magnifique vallée se fait sous un vent violent qui force les cyclistes a mettre pied au sol.
Un petit lac artificiel a noyé une église, seul le clocher émerge des eaux.
Sur la carte : Guarda en E, Nauders en F. Puis le Stelvio en G et le Gavia en H, la route descend ensuite vers Milan par las lacs.

Posté le :20/10/2016

Jour 3 : Andermatt Guarda par l'Oberalp et le Fluela pass
Puis nous prenons la route du col de l’Oberalp, qui commence par plusieurs larges épingles.
C'est une route plus fréquentée, et roulante, les paysages sont moins 'minéral', plus verts, et très beaux.
Le Rhin prend sa source près du col à  2045 m. La descente après quelques épingles un peu serrées, est très longue vers Disentis. 
Nous y ferons une étape gastronomique impromptue a base de venaison. Ensuite, la route est longue et peu roulante jusqu'à Coire, car ponctuée de nombreux travaux. 
Un petit tronçon d'autoroute puis, nous prenons la route de Davos. Le temps, jusque la d'azur, se couvre un peu et nous rejoignons Davos. La station est sans intérêt, bien moins typée 'gentry' que Saint Moritz. 
Nous prenons la route du Fluela pass, belle est peu fréquentée, le paysage d'abord boisé devient très minéral, et un fin saupoudrage de neige agrémente les abords du col a 2360 m.
Quelques lacets mais pas trop, c'est tant mieux car je commence a fatiguer. Nous arrivons dans la vallée de l'Inn ou Engadine. Nous roulons encore quelque kilomètres avant de rejoindre Guarda, un magnifique village romanche, la quatrième langue suisse, ou toutes les maisons sont couvertes de sgraffites, sortes se fresques. 
 

Posté le :20/10/2016

Jour 3 :Interlaken - Andermatt par le Susten Ppass
Un beau soleil éclairait le versant oppose et nous sommes montes gentiment a Beatenberg pour avoir la vue sur lac. Nous prenons la route de Meiringen et commençons l'ascension du Susten pass, l'un des plus beaux cols de Suisse.
La route est assez étroite, peu empruntée par les poids lourds et commence dans les sapins.
De très nombreux tunnels et épingles pour arriver dans un paysage minéral somptueux. Les passages très roulants succèdent aux passages très sinueux. 
Plusieurs auberges permettent de reprendre souffle avant le col a 2220 m.
La descente est assez similaire et mène a Andermatt. 

Posté le :20/10/2016

Jour 1 : Paris – La Pesse
Nous avons quitte Paris en début d'après midi pour la Pesse dans le Jura et la ferme des Huskies ou nous avons passe la nuit. 
 
Jour 2 : La Pesse - Interlaken
Au petit matin, les prés étaient couverts de givre, heureusement que la voiture avait été bâchée.
Le paysage au lever du soleil était magnifique : petits lacs fumants et petits voiles de stratus bas. 
Nous avons ensuite file vers Bulle après avoir acheté la vignette autoroute pour visiter d'autres amis. 
Puis le Jaun pass, un col d'alpage très vert a 1500m, une route très étroite avec de belles épingles dans la descente vers l'Oberland Bernois sous un ciel d'azur.  
Nous avons rejoint Interlaken pour y faire étape.
La Jungfrau enneigée se détachait dans l'échancrure de la vallée de Wengen.
 

Posté le :07/11/2015

La Bavière

Posté le :07/11/2015

La Bavière

Posté le :07/11/2015

L'Autriche, col de l'Arlberg

Posté le :07/11/2015

St Moritz

Posté le :07/11/2015

La Suisse - les Grisons

Posté le :07/11/2015

Lago di como

Posté le :07/11/2015

Lago di como

Posté le :07/11/2015

Lago di como, les hydravions

Posté le :07/11/2015

Lago di como

Posté le :07/11/2015

Lago di como

Posté le :07/11/2015

Voyage réalisé au mois de Septembre afin d’éviter les transhumances de touristes.
 
Jour 1 :Paris - Sion (700 km)
Nous prenons l’autoroute jusqu'à Poligny, puis la route traverse le Jura via Champagnole, les Rousses, la frontière suisse puis St Cergue, et reprenons l'autoroute, passons le bouchon de Lausanne et roulons jusqu'à Sion sous quelques averses. Dîner rustique dans la vieille ville qui comporte quelques belles maisons anciennes.

Jour 2 : Sion - Chiavenna (450 km)
L’autoroute qui remonte la vallée du Rhône est bordée de vignobles jusqu’au pied
du col du Simplon.
Peu avant Gletsch, nous virons à droite pour prendre la route du col de Nufenen. Il y a peu de trafic, la montée est rapide en suivant une Golf GTI jusqu'au col à 2470 m qui est dans les nuages, dommage, il paraît que le paysage ressemble à celui de la Lune. Certaines épingles sont très serrées. Nous descendons vers Bellinzona dans le canton de Ticino. Plusieurs forteresses
médiévales surplombent la ville. Nous montons à la forteresse la plus élevée par une route très étroite en lacets.
Par l’autoroute, nous remontons vers le col du SanBernardino, prenons par mégarde le tunnel et loupons la partie la plus intéressante du col. Nous redescendons dans la vallée puis prenons la route du col de Splugen, une route sinueuse et étroite, d'abord dans les bois, la végétation disparaît et le paysage devient minéral. Après le dépassement un peu osé d’une camionnette qui refusait le passage, nous sommes stoppés par des travaux.
Au redémarrage, deux voitures dont ladite camionnette effectuent un départ particulièrement  grossier et gonflé. Je suis un peu énervé, d'autant qu'il va falloir redoubler la camionnette.
Si celle ci se laisse doubler facilement par l'autre voiture, visiblement, il me laisse passer beaucoup plus difficilement. Heureusement, les autres voitures se montrent fair play et la montée se fait à bon train avec quelques glisses
dans les épingles.
Vers la fin, celles ci sont très serrées (comme au Turini), nécessitant de repasser la première pour relancer en sortie de virage, il faut le coup de gaz bien placé pour que celle rentre sans forcer, l'exercice est quand même délicat. On voit la différence sur la Volvo qui nous précède qui ne semble pas perdre de temps dans les changements de rapport.
Nous arrivons au sommet à la limite des nuages dans un paysage lunaire et une température proche de zéro, nous passons en Italie à 2115 m. Nous descendons quelques kilomètres vers un village, un ancien poste militaire.
Je dois assurer un RDV téléphonique professionnel, ce qui impose un arrêt café.
 Des cochons se baladent en pleine grand-rue du village, ce qui pimente un peu mon entretien téléphonique.
La route devient ensuite très spectaculaire, tant par l'enchaînement extrêmement rapproché d'épingles très serrées, certaines étant dans des portions de tunnel, que par le paysage très varié et les villages et stations
de ski traversés.
C'est vraiment une des plus belles routes des Alpes. Nous arrivons à Chiavonna,
une belle petite ville de montagne avec des maisons anciennes bordant la rivière (torrent).

Jour 3 : Chiavonna - St Moritz (280 km)
Nous nous dirigeons vers le lac de Côme en commençant par l’est afin à voir la lumière du soleil du bon côté pour les photos. Le début se fait via l’autoroute, une succession de tunnel es et ponts jusqu'à Bellano où nous prenons un capuccino au bord du lac. Puis nous continuons ver Lecco par une belle route côtière avec de belles vues sur la rive opposée.
Nous passons Lecco puis poursuivons vers Bellagio par une route très étroite, les croisements sont serrés. L'arrivée sur Bellagio est splendide, malheureusement, faute de pouvoir parquer, nous ne pouvons visiter. Nous repartons vers Come par une route tout aussi spectaculaire avec des arrêts réguliers pour admirer la rive opposée.
Nous passons devant une succession de chantiers navals de vedettes, là où se trouvait Riva.
A Come, nous passons à l'aéroclub pour obtenir des renseignements sur les vols en hydravion, il faudra revenir en hiver pour bien profiter de ce site superbe. Come est la plus ancienne base d'hydravion en Europe (peut être au monde) en activité continue.
Puis nous procédons vers Cernabio, la villa d'Este, passons par les plus petits villages abritant les villas de la jet set (G. Clooney) par une route d'à peine plus de 2M de large. On ne voit pas grand chose, c'est un alignement de charmantes villas et jardins du 18 e siècle cachées derrières de hautes murailles. Parfois, nous croisons une limousine, une classique ou un Range sport qui manque de rester coincé tant la rue est étroite. Puis nous reprenons la route principale située à flanc de falaise et passons d'autres beaux villages avec leurs petits ports, prenons quelques cafés et continuons jusqu'à avoir fait le tour complet. Ca nous a pris environ 6 heures.
Nous prenons ensuite la direction de Sondrio afin de rejoindre notre gîte a St Moritz par le col de la Bernina. La route est très belle, plus large que le Splugen. Nous repassons la frontière Suisse et grimpons dans la fin de journée jusque vers 2300m, le paysage redevient minéral et le brouillard nous accompagne durant les derniers km.
Peu de trafic, un Cayenne, très fair play, nous cède le passage et nous descendons tranquillement vers St Moritz.
La station est quasi déserte à mi septembre, ce qui explique les prix canons (c'est a dire acceptables) de l'hôtel.

Jour 4 : St Moritz - Oberammergau (350 km)
Après une visite du petit matin de la station déserte et un copieux petit déjeuner, nous prenons la route par le Julier-pass (2280m), très roulante, sommes précédés d'une Focus ST alerte.
La descente est absolument splendide avec après un très beau passage minéral, une succession de villages typiques de l'Engadine niches au creux de vallées profondes.
Nos enchaînons ensuite avec le Lenzerheide (1600m) qui nous amène à Chur puis Vaduz au Liechtenstein, le temps d'un café, nous repartons vers l'Autriche et montons le col de l'Arlberg, unebelle route très tranquille, qui s'achève avec quelques épingles
spectaculaires. Malheureusement, après St Anton, il reste encore un peu de route, et le Fernpass, pas très élevé (1200m) mais bouchonné par les Allemands rentrant de vacances. Nous perdons 1 heure dans les bouchons avec des moments d’arrêt total.
Nous finissons par entrer en Allemagne à Garmisch-Partenkirschen et après encore un bouchon de 15 min rejoignons notre destination, le beau village Bavarois tout décoré de peinture murales d'Oberammergau. 4 pays et 4 cols dans a journée !

Jour 5 : Oberammergau - Salzbourg (320 km)
Journée pluvieuse. Après une visite à pied du village et un solide petit déjeuner, nous nous mettons en route pour le célèbre  château de Louis II de Neuschwanstein. Sur laroute, nous nous arrêtons pour visiter l'église baroque de Wies, célèbre pour
ses décorations baroques intérieures exubérantes. Puis le château, c'est un peu Disneyland avec les autocars par dizaines. De loin, le site est cependant splendide et romantique à souhait avec le lac ou Louis s'est noyé selon la légende.
Nous prenons la route pour Salzbourg et traversons la campagne bavaroise par les petites routes sympathiques, seuls quelques travaux engendrant une circulation alternée gâchent le plaisir, on peut rester collé 10 mn dans un bouchon.
Au hasard de la route, nous passons par Gmund, le berceau de nos grenouilles.
Enfin, l'autoroute, il pleut et personne ne dépasse 120 km/h. Un spectaculaire accident est survenu sur la voie opposée au niveau d'un échangeur, 6 camions de pompiers et 15 km de bouchons. La pluie devient très dense, la vitesse tombe à 90 km/h et la 3ème vitesse d'essuie-glace glace (en panne) me manque, les panneaux lumineux indiquent une vitesse limite à 80 que tous respectent.
A l'approche de la frontière, un bouchon monstrueux apparait sur la voie opposée.
Nous apprenons plus tard que la fermeture de la frontière(pour contrer le flux de migrants) en est la cause.
Enfin Salzbourg, une étape bien agréable et chargée d'histoire musicale.

Jour 6 : Salzbourg - Ulm (320 km)
Nous visitons Salzbourg a pied, la vieille ville est interdite aux voitures. Puis nous prenons la jolie route vers Berstesgaden, la montée a l'Obersalzberg, rien de bien terrible, Bad Reichenall et l'autoroute.
Celle ci est limitée à 120 km/h jusqu'à Munich et ponctuée de ralentissements sérieux jusqu'à ce qu'on ait quitté la zone de Munich. Les limitations varient selon les portions et sont affichées par les panneaux lumineux.
Enfin une portion illimitée avec un trafic léger, la cadence s'accélère, certains breaks ont des capacités d'accélération impressionnantes. Je file une trentaine de km avec une BMW suivant derrière moi avec quelques pointes bien au delà de 200 km/h (GPS).
Arrivée à Ulm, une jolie petite ville qui a échappé (assez bien) aux destructions des guerres, une belle cathédrale (la plus haute flèche d'Europe) et un quartier qui rappelle la petite France a Strasbourg.
Excellent dîner dans une de ces maisons à colombages (restaurant Die Forelle) à un prix très acceptable. Nous sommes adossés à une gravure à la gloire de Napoléon, vainqueur avec les Bavarois des Autrichiens en 1805. Il épargna la ville.

Jour7 : Ulm – Paris (750 km)
Après une visite de la ville au petit matin, nous prenons la route vers la France, le trafic est toujours très dense, avec quelques bouchons. Nous passons la frontière, la circulation devient claisemée, car en France, c’est payant et un premier radar après quelques kilomètres.
Vers Metz un orage phénoménal s’abat sur nous, je ralentis à 70 km/h car l’eau qui s’accumule sur le capot remonte à mi pare brise et les essuie glaces sont impuissants à faire refluer l’eau. Je n’ose m’arrêter sur la bande d’arrêt et j’allume tous les feux craignant d’être percuté par l’arrière.  Un motard anglais me suit etun 4x4 me double. Le reste du trajet jusqu’à Paris  sera ponctué de petits orages et nous rejoignons la capitale en fin d’après midi.
 
Bilan : 3200 km en 7 jours et 6 pays traversés par des routes de qualité diverses  et 6 cols de haute montagne.
Un voyage rapide mais instructif qui permet de mieux comprendre la diversité européenne.
Zéro tracas avec la grenouille qui a donné un maximum de plaisir dans les cols.
La prochaine fois, on tentera de monter le mythique col du Stelvio, (à faire en venant d’Autriche).