Technique de demarrage

Jamais fait un truc pareil en + de 15 ans...
Je ne suis pas mécano, donc je n'ai pas d'avis particulier, c'est juste que ça ferait chier de faire ça -pour ainsi dire- à chaque fois que je sors la belle (car à chaque fois, y'a + de 15 jours d'immobilisation entre 2 sorties)...

inutile...

le système d'allumage de la 3.2 est particulièrement au point...

si ,c'est une technique courrante sur les voitures de course avec des moteurs TRES fortement solicités .....j'ai un pote qui faisait ca aussi sur des anglaises dont la mauvaise réputation n'est plus a faire au niveau de l'embiellage !

pas justifié (a mon sens ) sur une 911 surtout si moteur "stock"

jamais je ne m'étais posé ce genre de question. ton raisonnement se tient à priori.
à quelle vitesse tourne le moteur avec le démarreur seul. Je n'ai jamais vu une 911 démarrer exactement au moment où tu enclenches le démarreur. Je suppose donc que le seconde ou demi seconde avant le démarrage effectif suffit pour mettre sous pression l'huile. sinon, quel bin's .....

moi elle démarre sur le ralenti

ma 930 démarre très progressivement genre 200 300 500 650 TR/M stabilisé ,cela sur 4 ou 5 secondes
apres pompe electrique sur 4 secondes

Je crois que cela se fait pour un moteur refait à neuf pour son seul et unique premier redémarrage.

+1 Latrinquette et avec Marc-W

Dixit LatrinquetteJe crois que cela se fait pour un moteur refait à neuf pour son seul et unique premier redémarrage.

oui, c'est LA procédure préconisée dans les bouquins pour le 1er démarrage (edit : après une remise à neuf du bloc, je précise), afin que l'huile aille bien dans tous les coins juste sous la pression du démarreur...
Message édité le 02/07/2015

Au demarrage "normal" le régime fait un saut vers 2000 puis revient vite à 1000/900 (3.2 1987)

Quand on demarre sans la pompe a essence on est entre 400-800

J avais entendu qu une grosse partie de l usure d'une voiture venait de la phase à froid (donc demarrage+roulage), et là on peut se questionner sur l incidence d aller immédiatement à 2000 dans la/les premieres secondes.

jc qui est perplexe

j'ai jamais vraiment fait attention, la mienne, de mémoire, démarre direct au ralenti, pas de montée dans les tours, et sans yoyo.

salut

mon avis est que tu sollicite plus le démarreur et la batterie de façon totalement inutile

un démarrage simple sans accélérateur est pour moi très bon ; il reste toujours un filme si infime soit-il dans les zones devant être lubrifiés.
la pompe a huile étant directement amorcé elle envoie l'huile suffisamment rapidement et si il y a de l'aire en fin de circuit il est très vite chassé ( rapport de la viscosité de l'huile / a la fluidité de l'aire )
La grosse partie de l'usure d'un moteur est si on le sollicite fortement a froid
enfin cela est mon avis

Dixit jcl coupe 1987J avais entendu qu une grosse partie de l usure d'une voiture venait de la phase à froid (donc demarrage+roulage)

oui dans les années 90 on estimait l'usure causée à un moteur par 1 démarrage à froid = 1000 km d'autoroute !!!

ce qui laissait perplexe quant au choix d'une occasion de 50.000 km en 10 ans mais que de la ville ou la même de 50.000 km en un an d'autoroute

Les huiles sont tellement performante que cela n'est pas necessaire...
Ok pour la première mise en route d'un moteur neuf ou refait.
Il reste toujours un filme d'huile entre les pièces en mouvement.

Peut-être qu'une précaution plus efficace (et mois contraignante ? A voir.) que celle décrite par JCL Coupé 1987 consisterait à brancher un réchauffeur d'huile, tel ceux que l'on trouve dans tous les supermarchés des États du Nord des USA, au Canada et en Alaska.

L'idée, là-bas, est de garantir le démarrage par froid extrême, pas seulement de faciliter le travail du démarreur en fluidifiant l'huile.

Mais la logique peut être rapprochée de celle de JCL Coupé 1987 : une huile chaude est plus fluide ; une huile fluide dès le démarrage du moteur circule plus vite jusqu'à tous les points du moteur.

Après, pour ce qui est de savoir si le jeu en vaut la chandelle... Il faudrait que la collectivité du ce gentil forum finance un test à grande échelle en soumettant deux moteurs identiques (neufs, de préférence) à plusieurs milliers de cycles de démarrages à froid. L'un avec un réchauffeur d'huile, l'autre sans !

Psychologiquement utile pour le pilote mais mécaniquement inutile.
Nos moteurs ont un graissage par carter sec.
Donc la pompe à huile en fond de carter baigne dans l'huile, le circuit est amorcé partout et en particulier sur les graisseurs d'AAC et de pistons ainsi que les coussinets. Dès les premiers mouvements du vilo, la pompe envoie la sauce.
Et puis les huiles modernes laissent un film d'huile très tenace qui dure plusieurs mois.
Bref, sur un moteur de série (donc avec des jeux très tolérants), ça ne sert à rien. A tout prendre, il est plus utile de faire une vidange tous les ans.

Totalement inutile.

Totalement à froid, le moteur ne monte pas à 2000RPM.
Quand bien même il le ferait, comme expliqué par David, le circuit d'huile est correctement dimensionné et toutes les parties en mouvement sont lubrifiées même moteur à l'arrêt.
Dès que tu tournes le démarreur, ça envoie l'huile partout

Fanof

D’où l’intérêt d'une synthèse la plus performante possible
5 w 30 voire 0 w 40 au moins pour ma 3.2 l 1988.

c'est ma conclusion après de nombreuses recherches et consultations avec plein d'avis opposés et pertinents.

Malgré la polémique ça décape trop etc....etc ....cela a été mon choix il y a 18 ans et sans regret.

Après plus de 200.000 km réalisés depuis ;conso. moins de 1 litre aux 10.000km et compressions au top .Vérification périodique.
Voilà mon R E X................
Cordialement...