Le Blog de louyétu

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Posté le :23/06/2011

Je suis un peu tristounet ce matin...

Ma fidèle Peugeot 201M m'a quitté hier pour poursuivre ses aventures avec un nouveau chauffeur, comme on disait à l'époque.

J'ai choisi de la vendre, mais j'ai quand même un peu les boules. En plus il pleut, pas moyen d'aller faire un tour en Poil pour me refaire la cerise.

Et comment je vais faire pour rajeunir d'un 1/2 siècle maintenant ?

Posté le :31/01/2011

Un grand merci à mon petit camarade Jean-Claude dont la patience et les doigts de fée ont fait merveille .

On aurait presque envie de rouler capot entr'ouvert comme les 500 Abarth !

Posté le :31/01/2011

Heu - reux

Posté le :31/01/2011

Bon ben yapluka...

Une journée de remontage...

Posté le :31/01/2011

Les pales sont toutes bouffées

Donc 3 couches d'apprêt, ponçages, et peinture HT.

C'est pas beau ça ?

Posté le :31/01/2011

C'est parti pour la grande toilette :

- Décapex.
- Brosse rotative.
- Ponçage à l'eau.

Ça va mieux, non ?

Posté le :31/01/2011

Fixation du support du compresseur :

- 1 boulon sur la traverse (là, fastoche).
- 2 boulons sur la culasse entre les cylindres 5 et 6 (aïe les grosses mimines).
- 2 boulons... dernière la banane qu'il va falloir tomber aussi.

Après une journée à deux, on en est arrivé là

Posté le :31/01/2011

Seulement voilà : ma clim bizarre gêne la manœuvre pour démonter ce bazar ! (voir post ancien (clic) ).
Le compresseur étant fixe, il va falloir tout virer.

Posté le :31/01/2011

Voilà à quoi ressemblait la turbine... Beurk !
Il fallait faire quelque chose, l'hiver tombe à point

Posté le :17/01/2011

Mes jantes étaient toutes vilaines : étoile fanée, alu tâché...

Alors : ponçage des branches, masquage minutieux, peinture satinée au pistolet, Belgom sur l'alu, huile de coude partout partout

et voilà :

Posté le :01/02/2010

Après avoir goûté aux plaisirs d'outre-Channel, au charme des avant-guerre, l'heure de la retraite ayant sonné, on passe aux choses sérieuses. Bien aidé en cela par Madame : "C'est quoi cette tâche dessous ?", "on n'a pas de ceinture", "on est mal assis"...
Exit la TR4 pour un Cab 1984.
Pas de rêve d'enfant ou d'envie de toujours, simplement une évolution logique des choses.
Mais p... que c'est bon !

Ma 201 ? Ah non, celle-là je la garde. A son volant je rajeunis d'un demi-siècle à chaque fois! Magique non ?

Posté le :01/02/2010

Une Peugeot 201M 1937 est venue tenir compagnie à la TR4.
Sensations d'un autre âge : odeurs, freins à câbles, 80 kms/h en pointe vent arrière, boîte 3 vitesses non synchronisées.
Ma 915 ? Pfff, rigolade !
Voiture identique à celle de mes parents lorsque j'étais enfant, c'est à chaque fois un grand moment d'émotion à son (grand) volant.

Posté le :26/01/2010

Véritable piège à filles dans les années 60, une TR4 le reste encore de nos jours...

Posté le :26/01/2010

Ce fut une TR4 1963 qui prit place dans le garage.

Elle était nickel et nous a enchanté pendant des années sur les routes de France et pays limitrophes.
Des chevaux (on ne rit pas...), des odeurs, un bruit de bombardier et une fiabilité à toute épreuve.
Que du bonheur.

Posté le :26/01/2010

C'est décidé, vu le cahier des charges, ce sera une TRIUMPH Herald.
Elle venait de Manosque avec une mécanique refaite, mais une carrosserie à reprendre totalement.
Même pas peur, je m'y suis lancé tout seul : démontage complet, photos, étiquetage systématique et tout et tout. La peinture a cependant été confiée à un pro...
Remontage par bibi bien sûr. Il ne m'est pas resté plus de 10 boulons en trop !!!

Et puis un jour, je l'ai prêtée à un copain néophyte en voiture ancienne qui ne me l'a jamais rendue.
Les enfants avaient grandi, le petit 1200 était vraiment (mais alors vraiment) trop juste, Madame y prenait goût, il fallait changer de braquet.

Posté le :25/01/2010

Tout a commencé il y a 25 ans dans les Gorges du Tarn.

Dans notre banale berline familiale nous tentions de profiter du paysage en nous contorsionnant...
Tout à coup un cabriolet anglais nous double, avec un couple qui lui, profitait sans contraintes du même paysage (... mais en plus dégagé).
Bon sang, mais c'est bien sûr : il m'en faut un aussi !

Oui mais voilà, les gosses en bas âge, les traites, et ci et là.
Pendant les 10 ans qui suivirent, seule la lecture des revues spécialisées et la fréquentation en spectateur de quelques rassemblements (ah Albi...) furent autorisées.
Mais ça murissait gentiment : il me fallait 4 places (lardons oblige), fiable (je n'y connais pas grand chose en mécanique), avec des pièces faciles à trouver (what do you say ?), et surtout décapotable.

Posté le :25/01/2010






2010

Posté le :25/01/2010

Ca y est je me lance.
Je vais essayer de vous expliquer comment j'en suis arrivé là...




1995