Posté le :08/02/2013
Positionnement des coussinets de lignes avec la plus grande précaution, en vérifiant à deux fois les logements et l’état des coussinets. tous sont huilés. Positionnement du palier n°8 sur le nez du vilebrequin après avoir graisser à peine la lèvre du joint à lèvre et huiler à peine le joint torique.Posté le :08/02/2013
Demi carter droit encore une fois soufflé et dégraissé,Posté le :27/01/2013
Les pignons de distribution sont mis au four à 250°C pendant 45min , l'arbre lui au congélateur pendant 30min au milieu des courgettes! Cela évite de taper lors du remontage et d'assurer un bon positionnement. Circlips neufs. Nettoyage des passages d'huile. Je remarque que les pignons de chez R..P.. ont un décalage d'une demi dent par rapport au clavetage. Mais comme le calage est réglable, cela n'aura pas d'incidence.Posté le :27/01/2013
Après avoir dégraissé et soufflé à nouveau les orifices de lubrification du vilebrequin. je remonte les bielles dotées de leurs bagues de pied de bielle neuves et réalésées au bon diamètre pour un jeu axe de piston/bague correct. les deux Orifices de lubrification percés dans chaque bagues sont contrôlés.Posté le :26/01/2013
Démontage des fameux goujons. 12 sont d'origines et 12 sont des dilavars de 993. Je les démonte tous, avec un décapeur thermique à gaz me permettant d'avoir une chauffe très rapide et large mais peu puissante. je surveille la température au Thermomètre. Il faut arriver à environ 200 à 250°C pour que l'on commence à ressentir le frein filet se ramollir. Je commence à serrer de 2 ou 3° puis je desserre le goujon tout en maintenant un peu de chauffe. Un coup de taraud, et un coup de bombe dégraissante.Posté le :26/01/2013
Nettoyage et contrôle des gicleurs d'huile . J'utilise une durite dans laquelle est logée une tige filetée pour la rendre un peu plus rigide et surtout au bon diamètre. Elle me permet d'obturer le passage d'huile pour que l'air de la soufflette sorte par le gicleur. dégraissant + air compriméPosté le :19/12/2012
Une portée de culasse est marquée, je ne sais trop quoi faire!!!!!!. "Carmelo rectification" me conseille de juste roder. comment ? les cylindres neufs ont une rainures pour le joint de culasse? faut-il se faire un cylindre spécifique. Mais j'hésite à rectifier.la rayure fait environ 0.25mm tout de même. Si rectification, il faudrait faire les trois culasses gauche en même temps montées sur le carter d'arbre à cames gauche et idem pour les trois de droites pour équilibrer les compressions.Il faut trouver un bon tourneur fraiseur!! Au niveau du joint d'embase j'ai l'impression qu'il existe soit 0.5 d'origine soit 1mm donc rectifiaction possible de 0.5mm. Comment savoir si mes culasses n'ont pas déjà été rectifiée?? faut-il aussi rectifier les bordures , certainement que oui? Bref là je bloque!!Posté le :19/12/2012
J'ai contrôlé le cylindre plongeur qu'il n'ait pas de rayures ni de déformation. sans ressort, pas de point dur lorsque je le fais coulisser. Ressort en bon état. Dégraissage de l'intérieur et lubrification avant remontage. La petite pointe sert à le bloquer en position basse (rentrée) pour faciliter la dépose ou la repose.Posté le :12/12/2012
Difficile de contrôler les bielles sans outillage spécifique. un micrometre d'alésage pour l'usure de la bague de pied de bielle, l'état des coussinets de tête de bielle, et le flanbage à l'aide d'outils spéciaux. Moi j'ai réalisé un montage me permettant d'éffectuer un comparatif entre les bielles, partant du principe qu'elles ne pouvaient pas être, les six, pliées. Un règle de planéïté, un axe de piston de bridé dessus, on positionne la bielle sur l'axe et on positionne le comparateur sur la portée du chapeau de bielle. L'idée étant que s' il y a flambage, la distance entre d'axe de pied et l'axe de tête de bielle diminue qu'elle que soit le sens de flambage. Avec mon montage je compare la distance entre l'axe de pied de bielle et le cercle de la tête de bielle. J'ai donc pu comparer les six bielles. L'écart est inférieur à 0.01mm. donc avec les moyens du bord on peut dire que rien n'est plié. (attention une usure importante des bagues peut fausser la mesure)j'ai réalisé mes contrôle avec les bagues de pied de bielle neuves.Posté le :12/12/2012
Je contrôle l'état visuel des tourillons et des manetons, qu'il n'y ait pas de traces d'usures, de coloration,etc..Posté le :12/12/2012
Surprise surprise, coté droit après avoir repéré une usure importante des certains culbuteurs je me suis rendu compte que la rampe de lubrification est montée à l'envers. Erreur d'origine ou d'un précédent propriétaire? dans tous les cas, j'ai été obligé de la sortir. Seule difficulté: percer le bouchon alu qui obture cette rampe, tarauder celui-ci, puis l'extraire en vissant dedans une vis contre une entretoise. enlever la vis pointeau qui empêche la rampe de tourner puis retirer la rampe.Posté le :12/12/2012
L'idéal est d'avoir un micrometre d'alésage. Moi j'ai effectué une autre mesure avec un comparateur, en le positionnant de manière perpendiculaire à la soupape, en appuie sur la tête de la soupape. Celle-ci étant sortie de sa levée maximale.Je mesure le jeu de la soupape dans son guide.Posté le :02/12/2012
je contrôle l'equerrage des ressorts, la longueur libre des ressorts et l'idéal aussi est de controler la longueur avec une charge dessus.Posté le :02/12/2012
Diamètres des queues de soupapes. je prend plusieurs mesures (il peut y avoir de l'ovalisation, une usure en forme de tonneau, au autre, ..) je relève le diamètre minimal. Sinon, avec un micrometre 0-25 à0.001, je fais le zero sur une soupape neuve et je compare avec les soupapes usées. Pour infos, mes soupapes neuves font 8.969mm de diametre.Posté le :02/12/2012
J'ai utilisé des cylindres de 6.2mm (c'est le diamètre des rouleaux de la chaîne). le cylindre positionné dans le fond de denture bouge légèrement, je distingue l'usure dissymétrique des faces de chaque dents (face la plus "creusé" coté traction de la chaîne. Je mesure 78.69mm. Pour info et comparaison, le pignon neuf : le cylindre étalon de ne bouge pas du tout dans le fond de denture, et la cote est de 79.1. Je pense que le jeu est plus important comme contrôle que le diamètre, car les efforts sont beaucoups plus tangentiels que radiaux sur ces pignons.Posté le :07/11/2012
il ne doit pas y avoir de défaults de formes, ni d'aspects; arrachement de matière, coloration,ou trace d'impact . On ne doit surtout pas voir apparaître la couleur cuivre, car cela signifie que la troisième couche anti friction du coussinet tri métal est absente. Donc la prochaine étape c'est l'usure du tourillon de vilebrequin. je pense que c'est une couche extrémement fine de plomb ou d'indium?Posté le :21/09/2012
Avec un jeu de cales, il faut indroduire les segments à contrôler dans le cylindre à l'aide du piston pour qu'ils soientt le plus de niveau.Posté le :21/09/2012
Sur le cylindre on peut lire différentes indications, Dans le petit triangle il y a un chiffre code, c'est la hauteur du cylindre, deux possibilitées existent : 85.400 à 85.425 si chiffre 5, 85.425 à 85.450 si chiffre 6.Posté le :21/09/2012
Lire la côte sur le dessus du piston, STD (=0),1,2,3,4, puis au micromètre on prend le diamètre au dessus de l'axe (tête en bas). pièces dégraissées et séchées, température autour des 20°c.Posté le :21/09/2012
nettoyage au papier 800 à l'eau très leger (astuce si 'lon à peur de rayer ou d'enlever trop de matière avec du 800, vous pouvez couper la feuille en quatre et frotter deux carrés ensembles pour casser les grains et limiter l'attaque, ou prendre du 1000..) bien nettoyer tous les passages de vis ou goujons, plein de pâte à joint souvent surtout si le moteur à déjà été ouvert. On peut s'aider d'un forêt mais attention, dans certain passage des grands boulons de carters, il y a des orifices de passage de l'huile de lubrification. il ne faut surtout pas les boucher, ni même les agrandir. Rappelons que la pression d'huile d'un moteur est limitée par un régulateur de pression mais est surtout le résultat de l'ensemble des gicleurs et de l'ensemble des jeux des différents paliers. En exagérent si vous mettez des gicleurs énormes, la pression dégringolera ( dans la limite du débit de pompe).Posté le :21/09/2012
passage d'une filière sur tous les goujons (filière sans les bras pour pouvoir tourner autour de toute façon c'est juste pour rafraîchir le haut des filets qui est souvent oxydé). puis démontage avec un écrou et contre écrou. Si ça force, on peut chauffer au décapeur thermique le goujon. attention la flamme est je pense, peu conseillée, car le magnésium à un point de fusion assez faible autour de 600°C. Il suffit de monter à un maximum de 200 à 250°c grand maximum pour pouvoir ramolir le frein filet (même le frein filet fort rouge). Attention, lorsque le goujon commence à tourner de quelques degrés, mettre du wd40, puis faire marche arrière pour que le dégrippant pénètre dans le taraudage et limite les frictions. Vous éviterez toute remontée de morceaux de filetage. Ensuite, un petit coup de taraud léger de finition avec une goutte d'huile pour enlever tout résidu de frein filet ou d'impureté. Un coup de bombe nettoyant frein (avec les lunettes) dans le taraudage et sur le goujon, et ce sera prêt pour le remontage.Posté le :17/09/2012
Il est très important de consacrer un maximum de temps à la qualité des plans de joints. Le nettoyage doit être miticuleux et propre. J'utilise un produit loctite 7200 qui ramolit le joint à enlever, une spatule en plastique. Après avoir enlever les goujons, je passe du papier 800 à l'eau. Les plans de joint seront ensuites dégraissés juste avant assemblage. Je passe un coup de 1000 à l'eau très léger sur les logements des coussinets de tourillons, histoire d'assurer un bon postionnement des coussinets neufs.Posté le :08/08/2012
Après avoir dégraisser l'ensemble gentillement: